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De soi à Soi

Sept clés pour faire la paix avec soi-même et être en paix dans sa vie

15/02/2021

Sept clés pour faire la paix avec soi-même et être en paix dans sa vie

Voici plusieurs clés de compréhension que j'ai apprises depuis 20 ans que j'expérimente l'art de se connaître soi-même. Tout ce que j'évoque ici est passé au tamis de mon expérience et je souhaite avant tout vous faire prendre conscience de votre propre aptitude à ressentir la Paix quel qu'ait été votre vécu et que soient vos expériences encore aujourd'hui.

Je vous livre ici sept clés qui ouvrent les portes de la paix intérieure.

  • Clé n°1 : Accepter ce qui est, regarder avec honnêteté ce qui arrive en soi et dans sa vie

 

« Il existe un curieux paradoxe : quand je m’accepte tel que je suis, alors je peux changer. »  Carl Rogers

 

Il y a douze ans, j’ai bien cru que ma vie ne serait plus qu’un épuisant fardeau à porter jusqu’à la fin de mes jours... En effet, j’avais vécu comme tout le monde une succession d’épreuves, j’ai dû faire des choix difficiles qui m’ont fait renoncer à des valeurs que l’on m’avait inculquées, et pour cela, je me sentais irrémédiablement salie, souillée, stigmatisée. J’aurais voulu m’endormir dans un sommeil sans fin, je n’avais plus d’élan, plus d’envie de me lever et de vivre ma journée, mais je le faisais quand même, pour les autres.  Or, rien ne peut changer sans l’acceptation de l’état dans lequel on se met/on s’est mis(e).   

 

Un des plus grands obstacles à l’installation de la paix en soi est le déni. Si vous préférez vivre dans le déni, il n’y a pas de bien ou de mal à cela. Sachez seulement que tant que vous ne voulez pas accéder à votre vérité, la vie vous représentera les mêmes épreuves jusqu’à ce que vous sortiez du déni ou de la victimisation, si vous décidez d’en sortir un jour... Dans mon histoire, un jour est arrivé (très vite, heureusement !) où j’ai décidé de ne pas vivre avec ce poids toute ma vie ! Me morfondre, me culpabiliser, m’autoflageller tout le reste de ma vie : impossible !  Je me sentais triste, sali(e), dévasté(e), en colère, je me dévalorisais, me sentais en détresse, bref, je souffrais ! quand, la lecture de cette phrase fut comme un électrochoc :  

« Ma souffrance est ma vengeance contre moi-même. » Albert Cohen 

Je ne pouvais pas continuer à me faire souffrir et être consciente que c’était moi qui m’infligeais ma souffrance ! Et si je décidais de ne plus souffrir ? Si je choisissais de nourrir mes pensées et mon cœur d’émotions et de lectures positives ? Si je choisissais de ressentir la Paix plutôt que de vivre des conflits intérieurs et extérieurs en permanence ?  Il fallait juste que je change mon état intérieur !  Et quand la décision est prise, au cœur de votre cœur, cela peut aller très vite !  

Ce qui fait avancer est de se regarder en face : constater sa fragilité, sa vulnérabilité, ses « épreuves » qui sont en fait des expériences, et les aimer, quelles qu’elles soient ! 

Si c’est vraiment trop difficile d’accepter ce qui est, alors que c’est ! et qu’on ne peut pas empêcher une chose d’être ! alors, commencez par accepter que vous ne pouvez pas accepter ce qui est... ce sera déjà une avancée. 

 

  • Clé n°2 : Poser de la Conscience sur de l’inconscient : s’observer soi-même, cesser de« coller » au personnage que l’on joue

 

Déposer les armes. Ne plus livrer bataille pour maintenir une « image dorée » de soi. Décider de s’observer pour mettre de la Lumière sur des comportements automatiques, réactionnels parce que dictés par ce qui est enfoui, caché, secret, bref inconscient 

 

Se dé-voiler, se dé-masquer, retirer des voiles, fendiller en douceur la carapace, prendre de plus en plus conscience de ses « filtres », des lunettes noires ou roses à travers lesquels on voit la vie et qui ne sont pas Soi !  

 

Ressentir que l’on porte des fardeaux familiaux et transgénérationnels qui ne nous appartiennent pas mais qu’un événement est venu réveiller dans nos cellules pour rendre conscient ce qui était inconscient afin de s’en délester et de devenir de plus en plus soi-même. Avoir la curiosité de se connecter à ce qui émerge, là, de cet héritage et en éprouver de la gratitude... car cet héritage se manifeste afin qu'il soit mis en lumière avec Amour...

 

Prendre « de la hauteur », être dans cette Conscience éclairée qui embrasse tout, est source de guérisons. 

 

 

  • Clé n°3 : Contacter son espace de paix en soi et le faire grandir

 

« Personne d’autre ne peut vous apporter la paix que vous-même. » 

Ralph Waldo Emerson

 

Comment contacter cet espace de paix ?   

 

En allant à l’intérieur de soi ! Par la méditation ou diverses techniques d’introspection. Par la respiration, la visualisation et/ou le ressenti corporel. L’expérimentation de la sensation de paix passe obligatoirement par le corps physique, ce qui implique de faire la paix avec lui et de se mettre à l’écoute des ressentis subtils. 

 

 

AnnaliseArt 

 

 

Après vous être installé(e) confortablement et avoir pris contact avec votre inspire et votre expire, portez votre attention au centre de votre poitrine, au cœur de votre cœur, et tout en inspirant et expirant par le chakra du cœur, imaginez qu’à cet endroit se trouve une clairière, un paysage naturel que vous prenez le temps d’installer avec vos sensations visuelles, auditives, olfactives, tactiles... prenez le temps d’installer et d’apprivoiser cet espace sacré en vous, imaginez-vous déambuler dans ce paysage intérieur et ressentez l’énergie du Cœur, qui est une énergie d’Amour, de Beauté, d’Harmonie, de Paix, de Bienveillance, de Vérité, de Joie, de Gratitude... 

 

Pourquoi contacter cet espace de paix ?   

 

C’est à partir de cet espace, éclairé par la Conscience, que l’on va pouvoir transmuter l’état de « non-paix » en état de paix.  

 

 

  • Clé n°4 : Prendre la responsabilité de tout ce qui nous « habite » : croyances, pensées, émotions, blessures, inconforts, douleurs, maladies…

 

« Nos vrais ennemis sont en nous-mêmes. » Bossuet

 

C’est sûrement une des choses les plus difficiles à faire car l’ego aime bien jouer le rôle de victime ! Mais quelle avancée dans la compréhension de son monde intérieur que de se responsabiliser ! On quitte le monde de l’enfance (à n’importe quel âge...) et on devient le meilleur parent pour soi-même !   

Cesser de rejeter la faute sur les autres et sur ce qui se passe à l’extérieur de soi, invite à se tourner à l’intérieur pour mieux « entendre » ses besoins non comblés, ses mécanismes qui font que l’on rencontre dans la vie les mêmes scénarii...

 

À chaque fois qu’un événement extérieur trouve une « accroche » à l’intérieur, on prend le temps de s’occuper de la sensation désagréable en allant voir en soi au lieu d’accuser l’autre. 

 

Comment ?  

 

En se positionnant avec Conscience dans notre « espace de paix », d’accueil et d’acceptation de tout ce qui se présente et en adoptant la posture du Veilleur qui observe avec une vigilance ouverte et bienveillante. 

 

Sur quoi veille la Conscience vigilante ? 

 

Elle veille sur tout ce qui surgit dans notre monde intérieur (pensées, émotions, sensations, mémoires...), et en premier lieu sur les pensées. 

 

« Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. » Bouddha 

 

Observer ses pensées et ne pas les prendre au sérieux ! Ressentir ce que me renvoie « l’autre » quand il dit telle chose, fait tel acte... et me demander : «qu’est-ce que l’autre vient activer en moi par sa parole, son regard, son geste ? » 

 

Voir l’autre comme le miroir sur lequel inconsciemment on « projette » ce qui est enfoui en soi. C’est ainsi qu’on élargit les barreaux de sa prison mentale. 

 

Exercice pour cesser de juger les autres :   

 S’entraîner à faire la liste de ce que l’on ne peut supporter chez les autres et constater que cela peut correspondre à des besoins en soi non reconnus. 

 Trouver une personne égoïste peut révéler un besoin de penser un peu plus à soi. 

Trouver une personne paresseuse peut révéler un besoin de se détendre, de se reposer. 

Trouver une personne malveillante peut révéler un besoin d’être plus doux et bienveillant avec soi-même. 

Juger déplacé qu’une personne se mette en colère peut révéler la présence en soi d’une colère non exprimée. 

 

Et n’oubliez pas : l’important est juste de s’auto-observer avec bienveillance et de se prendre en flagrant délit de jugement et ... simplement de passer à autre chose, en souriant ! 

 

  • Clé n°5 : Considérer tout ce qui surgit d’inconfortable (émotions, blessures, douleurs, maladies...) comme un Maître qui vient nous enseigner quelque chose

 

C’est là encore une des choses les plus difficiles à faire, mais là encore, quel changement de conscience et de vibrations quand on s’autorise à voir les événements et nos vécus de cette façon !! 

C’est prendre ce que l’on vit au quotidien comme un tremplin d’évolution. C’est considérer l’autre (que ce soit le conjoint, le parent, l’enfant, l’ami, l’ennemi, le patron, le collègue...) comme notre meilleur allié pour évoluer, même si c’est une personne manipulatrice ! N’est-elle pas dans notre vie pour nous apprendre à poser nos limites ?  

 Considérer l’émotion qui me traverse comme un Maître me permet d’apprendre à devenir le témoin de ce qui se passe en moi, en me désidentifiant de l’émotion de façon humoristique : « tiens, je suis en train de passer en mode râleur/râleuse», ou « tiens, je suis en mode victime »... 

 Je repère ainsi dans mon corps ces inconforts qui surviennent lors d’une conversation, d’un regard, d’une situation. Je décide de leur accorder pendant quelques minutes toute mon attention, comme si je me posais à côté de l’émotion et que j’écoutais un ou une ami(e) qui en a besoin. Je décide de ne pas ignorer ces inconforts, ni de me laisser diriger par eux en surenchérissant et en réagissant de façon automatique et incontrôlée. Je décide de me laisser traverser par l’émotion jusqu’au bout, juste en l’observant avec bienveillance. 

 

« Quand on s’abandonne, on ne souffre pas.

Quand on s’abandonne même à la tristesse, on ne souffre plus. »

Saint-Exupéry

 

Peu à peu, je considère les tiraillements intérieurs comme autant d’occasions de transformations « émotionn’ailes », afin de retrouver Liberté et Souveraineté intérieures.  

Je peux prendre conscience là encore que des besoins sont cachés derrière les émotions. Reconnaître mes besoins me permet de mieux me connaître et, peut-être, de les combler moi-même. 

Par exemple, la colère peut survenir quand mes limites, mes frontières ont été bafouées : je prends alors conscience du besoin de respecter mes limites et de dire « stop » ou « non ». 

 

Aller à l’intérieur de soi jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’« accroches »  ou de moins en moins... : c’est ainsi que s’installe progressivement la paix à l’intérieur comme à l’extérieur de soi. 

 

Quelle satisfaction de quitter les rôles de victime, bourreau ou sauveur, et d’endosser celui de son propre guérisseur !  

 

  • Clé n°6 : Ouvrir son Cœur aux « parts de soi » laissées dans l’ombre

 

« Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire. » 

Carl Gustav Jung

 

En 2014, après une montée de Kundalini, toutes mes perceptions extra sensorielles se sont ouvertes, et je me suis formée à des soins énergétiques et ça fonctionnait, j’avais accès à la clairaudience, clairvoyance, aux vies antérieures... je découvrais un univers de possibilités et sa puissance. Autant vous dire que mon ego, naturellement, s’en nourrissait allègrement ! Le consultant n’avait que peu de place dans ce que je lui racontais ! Et, en 2016, j'ai attiré à moi des expériences très inconfortables (jalousie, magie noire…). Du 3 novembre au 13 décembre, ce furent 40 jours, ou plutôt 40 nuits passées dans les ténèbres de ma conscience. Cet épisode de ma vie est décrit dans le roman initiatique que j'ai écrit en 2021 : Ton Corps, ce Graal. J’ai ressenti toutes les affres de la souffrance psychique et physique, heureusement sur une courte période et uniquement les nuits. J’étais envahie de peurs donc j’avais des perceptions sensorielles très précises d'un monde invisible que je sentais hostile. Je ne voulais plus dormir. En revanche, j’ai toujours su au fond de moi que j’étais en train de vivre une étape « obligée » dans mon évolution spirituelle. J’étais en train de vivre une véritable initiation intérieure.  

Bien sûr, j’ai immédiatement cessé tout soin énergétique, et je me suis tournée en moi-même : quelle « ombre » intérieure pouvait avoir attirée cette expérience dans ma vie ? Je me suis ouverte à accueillir, avec humilité et bienveillance, des ombres en moi extrêmement puissantes. C’est par l’introspection et la méditation que j’ai pu les contacter et les réintégrer comme faisant bel et bien partie de moi ! J’ai dû déployer toute la Lumière que je porte dans mon cœur pour d’abord embrasser mes « ombres », puis me pardonner, me sentir ensuite dans des vibrations plus élevées et voir enfin cesser les « attaques » soi-disant « extérieures»... 

Parallèlement, à ce travail intérieur, j’ai su que je devais changer ma façon d’agir avec l’autre : au lieu de l’aider et d’avoir une posture de séparation (de supériorité...) vis-à-vis de lui, j’allais à présent, tout en restant à l’écoute de mon monde intérieur, l’amener à s’aider/s’aimer lui-même.   

 

Fotoworkshop4You 

 

Prendre conscience de sa division intérieure

Dans cette odyssée intérieure, nous pouvons donc rencontrer des personnages vivant en soi, des «archétypes» : le Juge intérieur, le Saboteur, l’Enfant blessé(e), le Roi, le Chevalier, le Magicien/la Magicienne, la Déesse-Mère... 

 

Se plonger dans cette aventure intérieure réclame d'y être prêt(e). On ne peut faire face à «l’ombre» qui nous habite qu’avec Conscience, en baissant les armes et le cœur ouvert. 

 

L’idée est d’intégrer ou réintégrer en soi un aspect de soi, qu’il soit «lumineux» (comme la confiance ou la créativité, par exemple), ou « ombrageux » (comme la rage, la prise de pouvoir sur les autres, le mensonge...). Quand l'aspect de soi à réintégrer se présente sous des dehors repoussants, sachez qu'il recèle un trésor. Regardez-le avec compassion, en souhaitant que cesse sa souffrance. Et vous assisterez sûrement à sa métamorphose... 

 

Souvent, à l’intérieur, des aspects de soi s’opposent : la douceur et la colère non acceptée, par exemple. Contenir la colère pendant des jours, des semaines, des années, engendre beaucoup de fatigue...et des troubles physiologiques... Cela a été également un travail d’Hercule pour moi que d’ouvrir mon cœur et mes bras à toutes les colères que j’avais empilées et non exprimées depuis l’enfance !  

 

C’est en allant à la rencontre de ces parts de soi, que l’on va «reconnaître» leur existence, et c’est en portant sur elles un regard de Conscience, de Lumière et d’Amour, que l’on va pouvoir les réintégrer dans la zone consciente de son être. C’est à ce moment-là que l’énergie de cet aspect qui était contenue ou bloquée se (re)met à circuler à l’intérieur de nous, se (re)met à notre service, car nous n’avons plus à lutter contre cette part de soi enfin reconnue... 

 

Exercice : Nous possédons tous les défauts et toutes les qualités de l’univers ! Dans notre royaume intérieur, s’élèvent de multiples demeures, dont nous possédons les clés : la demeure de la joie, celle de la créativité, celle de la paresse, celle de l’envie... si certaines portes sont grandes ouvertes, d’autres sont plus ou moins fermées, voire verrouillées à double tour, selon notre (in)capacité à les «reconnaître». Certaines demeures sont presque inaccessibles aux confins du royaume... Quand le cœur vous en dit, après avoir pris un temps de présence à vous-même, descendez dans votre royaume et amusez-vous à suivre un chemin intérieur qui mène à toutes ces maisons et observez comment vous vous sentez devant les portes closes... Prenez le temps de les ouvrir les unes après les autres, depuis l’espace bienveillant de votre cœur. Souvenez-vous que les aspects dits «négatifs » vous feront cadeau d’un don, d’un trésor, même s’ils se manifestent à vous sous des dehors inquiétants ou effrayants. Ils peuvent prendre toutes sortes d’apparence. C’est un bon exercice pour pratiquer le non-jugement et l’accueil ! Engagez un dialogue intérieur avec eux pour découvrir ce qu’ils ont à vous enseigner. C’est justement les aspects que vous avez le plus reniés qui ont des leçons de sagesse à vous offrir... 

Réappropriez-vous ainsi, peu à peu, l’intégralité de votre royaume intérieur afin d’être dans votre plénitude et de libérer votre parfum unique et pacifié. 

 

Aller vers l'unité intérieure

Comment intégrer nos personnages intérieurs qui s’opposent ? Comment les unir par l’attention consciente et bienveillante qu’on leur accorde ? 

On ne peut "dialoguer " avec l'inconscient à partir du mental, ni avec le raisonnement logique. C'est à partir du cœur que le dialogue va s'instaurer, et avec le langage du cœur, qui est celui des mythes et des contes, un langage imagé, métaphorique, symbolique. 

Le signe de l’intégration passe d'ailleurs souvent par l’émergence d’un symbole qui vient réunir et dépasser les contraires en soi. Là aussi, quel changement de conscience et d’énergie ! 

Par exemple, en chaque femme et en chaque homme vivent des archétypes universels du "Féminin" (ou « Femme intérieure » ou « Anima ») avec sa sensibilité, son amour, sa puissance réceptive, son intuition, sa capacité à être, sa capacité à dire « Oui » inconditionnellement,  et des archétypes universels du "Masculin" (ou « Homme intérieur » ou « Animus ») avec sa force d'action, son courage, sa puissance émissive, son initiative, sa capacité à avoir et à donner, sa capacité à dire "Non" et à trancher. 

Si, dans notre propre psyché, se jouent les conflits hommes femmes des générations avant la nôtre, comment espérer une relation harmonieuse dans son couple « extérieur » si le couple intérieur n’est pas pacifié et unifié ? 

 

Quand la magie de la force agissante d’un symbole vient unifier en soi des contraires, on ne peut qu’éprouver de l’amour, de la joie, de la gratitude et de la paix. 

 

  • Clé n°7 : S’engager à « nourrir » son cœur de ce qui lui fait du bien

 

En me mettant à l'écoute de mes ressentis corporels subtils, je choisis ce qui «nourrit » mon cœur : quelles lectures ? quels types de film ? quelles musiques ? quelles chaînes Youtube ? quels réseaux sociaux ? quelles informations et actualités nourrissent mon cœur ? Et je laisse le reste de côté ! Personnellement, je n'ai plus la télévision depuis 17 ans, car je sentais que cela ne nourrissait pas mon cœur. Mais pour vous, c'est peut-être différent : soyez à votre écoute ! 

Ainsi, vous devenez peu à peu la créatrice/le créateur de votre vie et l'initiatrice/l'initiateur de votre paix intérieure. 

 

Faire le tri

  • Faites le tri dans vos affaires et vos activités. Cela crée de l'espace pour accueillir du "nouveau". 
  • Changez votre environnement extérieur, surtout s’il est encombré et désordonné (le désordre a des vibrations similaires à celles de la dépression). 
  • Prenez conscience de tout ce qui est devenu « automatique » dans votre vie et qui ne vous fait plus vibrer. 
  • Prenez conscience que vous évoluez et que certaines activités ne vous apportent plus autant qu’avant et que d’autres en revanche vous attirent. 

 

Faire le choix de ses relations

Même si, quand vous vibrez la paix, vous pouvez vous ajuster à toutes les vibrations de votre entourage, quelles qu'elles soient, il est parfois nécessaire, par respect pour soi, de prendre de la distance avec certaines personnes ; d’autres, plus en harmonie avec vous, arriveront naturellement dans votre vie car tout est vibration. 

 

Faire des choix alignés avec ses valeurs

Il arrive que la vie nous fasse renoncer à certaines valeurs que nous avions depuis toujours. On prend alors conscience que c'était peut-être une valeur familiale qui nous a été inculquée. C'était une « bonne » valeur, mais sans doute pas la plus essentielle pour nous. 

Nos valeurs évoluent donc au fil de la vie. Il est intéressant de constater cette évolution en se posant la question "Qu'est-ce qui me fait vibrer ? Qu'est-ce qui me remplit de joie ? " car vivre en accord avec ses valeurs, permet de se sentir bien avec soi-même. 

Exercice : Quelles sont mes valeurs et comment les nourrir dans ma vie quotidienne ? Prenez un temps pour répondre à ces deux questions. Voici une liste de valeurs qui n’est pas exhaustive ! Vous pouvez en trouver d’autres... 

Amour, Authenticité, Altruisme, Joie, Paix, Autonomie, Liberté, Solidarité, Famille, Respect (de soi, des autres), Harmonie, Se réaliser, Amitié, Foi, Loyauté, Compassion, Beauté/esthétisme, Justice/Équité/Justesse, Écologie/Nature, Honnêteté, Vérité, Attention, Ecoute, Humilité, Expérimenter, Accomplissement, Alignement, Centrage, Cohérence, Équilibre, Intégrité, Conscience, Simplicité, Naturel, Émerveillement, Enthousiasme, Ouverture...      

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